En 2016, alors que je m’apprêtais à participer de nouveau au festival de théâtre d’Avignon en tant que comédien, j’ai été interpellé par la réflexion d’une connaissance qui m’avait alors souhaité de « bonnes vacances ».

Devant cette maladresse née d’une profonde méconnaissance des réalités de mon métier, j’ai laissé de côté mon irritation pour faire un peu de pédagogie. En sont sorties des chroniques journalières que vous pouvez piocher ici ou retrouver dans un livre « Sur le front d’Avignon »

« Tous ceux qui aiment ce festival devraient avoir à cœur de lire ce récit, pour comprendre la réalité de ce que vivent ceux par qui il existe : les artistes. »

La Provence