En 2016, alors que je m’apprêtais à participer de nouveau au festival de théâtre d’Avignon en tant que comédien, j’ai été interpellé par la réflexion d’une connaissance qui m’avait alors souhaité de « bonnes vacances ».
Devant cette maladresse née d’une profonde méconnaissance des réalités de mon métier, j’ai laissé de côté mon irritation pour faire un peu de pédagogie. En sont sorties des chroniques journalières que vous pouvez piocher ici ou retrouver dans un livre « Sur le front d’Avignon »


Chronique d’Avignon off n°11 : Avignon la croix de guerre des comédiens
Chronique d’Avignon off n° 12 : Maladie textuellement transmissible
Chronique d’Avignon off n°13 : La culture ça rapporte!
Chronique d’Avignon off n°14 : Un jour sans fin
Chronique d’Avignon off n°15 : Faut-il coucher pour réussir?
Chronique d’Avignon off n°16 : Concentration, rituels et triple axel
Chronique d’Avignon off n°17 : Le bruit et les auteurs
Chronique d’Avignon off n°18 : Je ne suis pas qu’un corps
Chronique d’Avignon off n°19 : De la différence du festival IN et du OFF
Chronique d’Avignon off n°20 : Le spectre de la première fois


« Tous ceux qui aiment ce festival devraient avoir à cœur de lire ce récit, pour comprendre la réalité de ce que vivent ceux par qui il existe : les artistes. »