[…] Nous avons ensuite passé la soirée à déambuler, profitant des spectacles et concerts nocturnes, s’amusant à trouver la plus belle et la plus moche affiche. C’est là que nous avons croisé, à minuit passé, des comédiens se préparant à aller afficher, encore et toujours ! Nous avons soudainement pris conscience que, par rapport à d’autres, nous vivons un Avignon dans de très bonnes conditions. Il faut avoir du courage (ou pas vraiment le choix), après une journée rythmée par les parades sous le soleil, le jeu, le montage et le démontage du décor, les courses, le repas, la lessive (perso et des costumes), pour grimper accrocher des cartons sur les rares lampadaires pas encore envahis. Et après, on dit que les artistes sont des feignants…

[…]

Retrouvez la suite de cette chronique et découvrez les coulisses du festival Off dans mon livre Sur le front d’Avignon

 

« Tous ceux qui aiment ce festival devraient avoir à cœur de lire ce récit, pour comprendre la réalité de ce que vivent ceux par qui il existe : les artistes. »

La Provence